1er prix 100.000 zous ! - Tout un roman à venir - !!!

Petit jeu
En fait, il s’agit de créer un « roman », chacun écrit, une phrase comprenant le mot que la personne précédente lui impose.
Le titre sera mis après 500 posts, après propositions des participants et votes (nombre de vote x nombre de post = classement);
le gagnant recevra 100.000 z, le deuxième 50.000 z et le troisième 25.000 z. (le nombre de posts par joueur sera édité de temps en temps).
Il s’agit d’un roman, sur le thème de zivilia, donc pas d’IRL, ni de sms, mais de l’humour, des allusions, de l’aventure, du suspense, de l’amour, des dialogues, du fantastique……
Pseudo autorisés sauf pour le personnage principal, la numérotation est importante, ne l’oubliez pas. Pas de post successif par joueur, si vous avez des commentaires ou questions, j’ai mis un exemple, entre parenthèses après le mot, la réponse au même endroit.
Titre à venir (Qui sera édité sur le dernier post)

1 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent.
Arc
____________________________________________________________________________
2 – La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir.
Fleurs
(Exemple de question ou commentaire : faut-il respecter les pluriels ?)
___________________________________________________________________________
3 – La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé.
Recette
(Exemple de réponse : non, ni les majuscules)
………………………………………………
Bon allez je commence

0 – La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé.
Recette

1 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse.
Flèche

2 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Charrette

3 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Arbre

4- La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Pour évitez que l'on ne me vole ma précieuse prise, je pris la décision de la dissimuler derrière un arbre, puis je couru vers l'orée du bois.
Feuilles

5 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Pour évitez que l'on ne me vole ma précieuse prise, je pris la décision de la dissimuler derrière un arbre, puis je couru vers l'orée du bois.
Tout en amenant ma charrette près du zuffle, j'admirais ce paysage à la fois boisé et couvert de praires luxuriantes; les couleurs des feuilles, en ces premiers jours d'automne passaient du vert intense des pins aux rouges et jaunes des chênes et autres arbres des cette contrée.
Chemin


(Merci jesseb, tu as été rapide )

6 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Pour évitez que l'on ne me vole ma précieuse prise, je pris la décision de la dissimuler derrière un arbre, puis je couru vers l'orée du bois.
Tout en amenant ma charrette près du zuffle, j'admirais ce paysage à la fois boisé et couvert de praires luxuriantes; les couleurs des feuilles, en ces premiers jours d'automne passaient du vert intense des pins aux rouges et jaunes des chênes et autres arbres des cette contrée.Aspiré par ce décor radieux, je ne regardais plus où je mettais les pieds lorsqu'une racine qui traversait le chemin me fit tomber. J'espérais que cette racine ne serait pas trop gênante au retour avec la charrette chargée.
roue

7 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Pour évitez que l'on ne me vole ma précieuse prise, je pris la décision de la dissimuler derrière un arbre, puis je couru vers l'orée du bois.
Tout en amenant ma charrette près du zuffle, j'admirais ce paysage à la fois boisé et couvert de praires luxuriantes; les couleurs des feuilles, en ces premiers jours d'automne passaient du vert intense des pins aux rouges et jaunes des chênes et autres arbres des cette contrée.Aspiré par ce décor radieux, je ne regardais plus où je mettais les pieds lorsqu'une racine qui traversait le chemin me fit tomber. J'espérais que cette racine ne serait pas trop gênante au retour avec la charrette chargée.
Mes craintes furent rapidement confirmées, mais pas comme je m'y attendais. La racine "s'enfonça" littéralement dans le sol, emprisonnant ainsi ma roue dans le trou laissé par la racine.
ombre

8 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Pour évitez que l'on ne me vole ma précieuse prise, je pris la décision de la dissimuler derrière un arbre, puis je couru vers l'orée du bois.
Tout en amenant ma charrette près du zuffle, j'admirais ce paysage à la fois boisé et couvert de praires luxuriantes; les couleurs des feuilles, en ces premiers jours d'automne passaient du vert intense des pins aux rouges et jaunes des chênes et autres arbres des cette contrée.Aspiré par ce décor radieux, je ne regardais plus où je mettais les pieds lorsqu'une racine qui traversait le chemin me fit tomber. J'espérais que cette racine ne serait pas trop gênante au retour avec la charrette chargée.
Mes craintes furent rapidement confirmées, mais pas comme je m'y attendais. La racine "s'enfonça" littéralement dans le sol, emprisonnant ainsi ma roue dans le trou laissé par la racine.
La charrette était immobilisée et tout effort malheureux pouvais briser la roue; j'improvisais une pelle avec un ridoir de la charrette, et creusant, ou plutôt grattant le sol, je pus dégager la roue et la racine que je sectionnais avec ma machette; je pris un peu de repos à l'ombre d'un bananier, avant de tenter la sortie.
Fruits

9 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Pour évitez que l'on ne me vole ma précieuse prise, je pris la décision de la dissimuler derrière un arbre, puis je couru vers l'orée du bois.
Tout en amenant ma charrette près du zuffle, j'admirais ce paysage à la fois boisé et couvert de praires luxuriantes; les couleurs des feuilles, en ces premiers jours d'automne passaient du vert intense des pins aux rouges et jaunes des chênes et autres arbres des cette contrée.Aspiré par ce décor radieux, je ne regardais plus où je mettais les pieds lorsqu'une racine qui traversait le chemin me fit tomber. J'espérais que cette racine ne serait pas trop gênante au retour avec la charrette chargée.
Mes craintes furent rapidement confirmées, mais pas comme je m'y attendais. La racine "s'enfonça" littéralement dans le sol, emprisonnant ainsi ma roue dans le trou laissé par la racine.
La charrette était immobilisée et tout effort malheureux pouvais briser la roue; j'improvisais une pelle avec un ridoir de la charrette, et creusant, ou plutôt grattant le sol, je pus dégager la roue et la racine que je sectionnais avec ma machette; je pris un peu de repos à l'ombre d'un bananier, avant de tenter la sortie.
Ce repos me rappela mon arrivée, la chasse improvisée pour trouver un lapin, un castor, une racine...puis vint le jour où j'arrivais dans un sous-bois où les fruits étaient en force...lorsque mon repos se termina, (et ma rêverie terminée)...j'appréhendais que le soleil ne s'eclipse.
abri

pour jbf, et garder le premier post pour monter l'histoire entière...et chacun ajoute son morceau, quand c'est trop long on doit séparer les sujets!

10 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Pour évitez que l'on ne me vole ma précieuse prise, je pris la décision de la dissimuler derrière un arbre, puis je couru vers l'orée du bois.
Tout en amenant ma charrette près du zuffle, j'admirais ce paysage à la fois boisé et couvert de praires luxuriantes; les couleurs des feuilles, en ces premiers jours d'automne passaient du vert intense des pins aux rouges et jaunes des chênes et autres arbres des cette contrée.Aspiré par ce décor radieux, je ne regardais plus où je mettais les pieds lorsqu'une racine qui traversait le chemin me fit tomber. J'espérais que cette racine ne serait pas trop gênante au retour avec la charrette chargée.
Mes craintes furent rapidement confirmées, mais pas comme je m'y attendais. La racine "s'enfonça" littéralement dans le sol, emprisonnant ainsi ma roue dans le trou laissé par la racine.
La charrette était immobilisée et tout effort malheureux pouvais briser la roue; j'improvisais une pelle avec un ridoir de la charrette, et creusant, ou plutôt grattant le sol, je pus dégager la roue et la racine que je sectionnais avec ma machette; je pris un peu de repos à l'ombre d'un bananier, avant de tenter la sortie.
Ce repos me rappela mon arrivée, la chasse improvisée pour trouver un lapin, un castor, une racine...puis vint le jour où j'arrivais dans un sous-bois où les fruits étaient en force...lorsque mon repos se termina, (et ma rêverie terminée)...j'appréhendais que le soleil ne s'éclipse.
Ce contre temps, au contraire de m'ennuyer, me donna l'envie de passer la nuit sur place et peut être espérer, chasser un autre animal demain matin; profitant du sous bois, je cueillais des fruits et des baies, en quantité pour quelques jours; repu et heureux, je m'allongeais sous ma charrette en guise d'abri improvisé.
Claquement


Comment faut il faire? je ne maitrise pas suffisamment; mais c'est vrais que ça va devenir lourd à la fin.

11 - La plaine était verdoyante, les zuffles paissaient sous le soleil ardent. Je sentais que cette chasse à l’arc, allait être une partie de plaisir. En rampant, dans les hautes herbes et les fleurs colorées, je m’approchais sans bruit, d’un petit groupe isolé. Le troupeau semblait n'en plus finir. A partir de ma cache dans les herbes, je commençais à choisir les bêtes qui allaient tâter de mon arc. La recette promettait d'être très bénéfique à ma bourse. Très lentement , j'ajustais ma première flèche et visais l'encolure d'une zufflonne manifestement pas suivie par un zufflon; bloquant ma respiration, je relâchais la corde et en l'espace d'un instant, la zufflonne se cabra, puis après quelques sursauts au sol, s'immobilisa.
Je m'approchais de la zufflonne tombée à terre avec la plus grande prudence. Plus je m'avançais, plus elle me paraissait énorme! il allait falloir que j'aille rechercher ma charrette sur le sentier pour y charger la zufflonne.
Pour évitez que l'on ne me vole ma précieuse prise, je pris la décision de la dissimuler derrière un arbre, puis je couru vers l'orée du bois.
Tout en amenant ma charrette près du zuffle, j'admirais ce paysage à la fois boisé et couvert de praires luxuriantes; les couleurs des feuilles, en ces premiers jours d'automne passaient du vert intense des pins aux rouges et jaunes des chênes et autres arbres des cette contrée.Aspiré par ce décor radieux, je ne regardais plus où je mettais les pieds lorsqu'une racine qui traversait le chemin me fit tomber. J'espérais que cette racine ne serait pas trop gênante au retour avec la charrette chargée.
Mes craintes furent rapidement confirmées, mais pas comme je m'y attendais. La racine "s'enfonça" littéralement dans le sol, emprisonnant ainsi ma roue dans le trou laissé par la racine.
La charrette était immobilisée et tout effort malheureux pouvais briser la roue; j'improvisais une pelle avec un ridoir de la charrette, et creusant, ou plutôt grattant le sol, je pus dégager la roue et la racine que je sectionnais avec ma machette; je pris un peu de repos à l'ombre d'un bananier, avant de tenter la sortie.
Ce repos me rappela mon arrivée, la chasse improvisée pour trouver un lapin, un castor, une racine...puis vint le jour où j'arrivais dans un sous-bois où les fruits étaient en force...lorsque mon repos se termina, (et ma rêverie terminée)...j'appréhendais que le soleil ne s'éclipse.
Ce contre temps, au contraire de m'ennuyer, me donna l'envie de passer la nuit sur place et peut être espérer, chasser un autre animal demain matin; profitant du sous bois, je cueillais des fruits et des baies, en quantité pour quelques jours; repu et heureux, je m'allongeais sous ma charrette en guise d'abri improvisé. Je commençais à sombrer dans un repos bien mérité, lorsqu'un bruit étrange parvient a mes oreilles. Le bruit se rapprochait, puis un grand claquement se fit entendre!
mains

c'est vrai ca après on va mettre un seul message par page!
hé ho ca fait 4 jours qui y a plus rien je veux une suite moi!
bon écoutez là... ca fait 2 semaines qu'il y a plus rien! si c'est fini dites le moi!